La thèse examine entre autres les conséquences géopolitiques de la production de phosphate et mentionne à plusieurs reprises le sujet de la production Marocaine au Sahara Occidental occupé.
« Une proportion considérable des domaines agricoles dans le monde est fertilisée avec des minerais de cette région » déclare la thèse.
« Il y a ici deux dimensions importantes : a) une dimension éthique pour les consommateurs et les compagnies qui soutiennent sciemment et inconsciemment une occupation qui viole les conventions internationales sur les Droits de l’Homme ; et b) les conséquences géopolitiques de l’interruption de l’approvisionnement venant de la région » peut on lire.
Cette thèse est le résultat d’un accord entre l’institut pour un avenir durable, l’université de technologie, Sydney et le Département de l’eau et des études environnementales, université de Linköping, Suède.
Le document est téléchargeable sur le site :
http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:liu:diva-53430
L'importateur japonais du phosphate sahraoui est identifié
WSRW a retracé les importations de minerai de phosphate jusqu'à un quai adjacent à une filiale de la société japonaise Taiheiyo Cement Corporation.
Les clients du phosphate pillé par le Maroc
Pour la onzième année consécutive, Western Sahara Resource Watch publie un aperçu annuel détaillé des entreprises impliquées dans l'achat de phosphates de la zone en conflit du Sahara Occidental occupé.
COWI abandonne ses projets au Sahara Occidental
Après avoir entrepris des travaux pour la société nationale marocaine des phosphates au Sahara Occidental, le géant danois du conseil COWI déclare qu'il "ne s'engagera pas dans d'autres dossiers" dans le territoire occupé.
Avec la fermeture de Suez, dilemme de pillage pour le Maroc
Le Maroc a depuis 6 ans évité de diriger les navires transportant son pillage via l’Afrique du Sud, dont les tribunaux ont jugé illégal le pillage du phosphate du Sahara Occidental occupé. Le premier test se joue maintenant.