La compagnie néo-zélandaise Ballance Agri-Nutrients a de nouveau acheté de la roche de phosphate d’une société d’état marocaine de phosphate au Sahara Occidental occupé. Le chargement est arrivé le 3 décembre 2008, dans un navire géré par des Israéliens, le 'White Diamond'.
Lors de sa visite à Santa Cruz de Tenerife, le prix Rafto des Droits de l'homme a durement critiqué les investissements européens au Sahara Occidental à travers du Gouvernement Canarien, ils sont "irresponsables et lamentables".
L’ex conseiller juridique, l'ambassadeur Hans Corell, considère l'accord de partenariat pour la pêche (FPA) entre l'UE et le Maroc comme illégal. Western Sahara Resource Watch demande l'arrêt immédiat du pillage du Sahara Occidental occupé par l'Europe. Communiqué de presse de WSRW.
Pas moins de 426 organisations ont signé la lettre pétition, demandant à la commission de l’UE que le Sahara Occidental soit clairement exclu de la coopération dite « statut avancé » qui est actuellement en cours d’accord avec le Maroc. La pétition a été envoyée à la commission européenne ce matin. COMMUNIQUÉ DE PRESSE.
Plusieurs parlementaires suédois d'un des partis du gouvernement suédois, ont suggéré que le Gouvernement suédois travaille à empêcher l'UE de signer n'importe quel nouvel accord ou l’accord de statut avancé avec le Maroc "tant que le pays occupe le Sahara Occidental".
Javier Lacoz, directeur général de la compagnie de la Corogne Calvo, a déclaré aux médias que le groupe "a décidé de ne pas renouveler le contrat de location du site de El Aaiun à partir de 2009"
Dans une extraordinaire démonstration d'arrogance et de dédain pour les représentants d'organisations de la société civile, un cabinet juridique de Washington, Covington & Burling, refuse catégoriquement d’engager la discussion avec le réseau mondial de solidarité Western Sahara Resource Watch (WSRW) et la lauréate de l’année du prix Robert F. Kennedy Memorial Human Rights, Mme. Aminatou Haidar. Le cabinet est, à cause d'une analyse légale de sa production, la source à laquelle l'industrie de phosphate mondiale se réfère pour prétendre que le commerce de phosphate provenant du Sahara Occidental est légal.