L'étudiante sahraouie Senia Bachir Abderahman demande au cabinet d'avocats de Washington Covington & Burling de lui dire comment ils peuvent affirmer que le pillage des phosphates du Sahara Occidental bénéficie aux Sahraouis.
Le cabinet d’avocats Covington & Burling aide le Maroc dans son pillage illégal des phosphates du Sahara Occidental occupé. L’étudiante sahraouie Sénia Bachir Abderahman essaie d’avoir des réponses du cabinet d’avocat sur la façon dont ils peuvent défendre le pillage de son pays.
Vous trouverez ici l’exposé de l’ancien Secrétaire général adjoint aux affaires juridiques et conseiller juridique des Nations Unies, lors d’une conférence en Afrique du Sud.
Western Sahara Resource Watch a envoyé aujourd’hui une lettre aux membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, leur demandant d’appeler à l’arrêt du pillage des ressources naturelles du Sahara Occidental occupé.
Le 8 Avril, le Polisario s'est adressé au Conseil de Sécurité pour protester contre le pillage du Sahara Occidental. La lettre est maintenant publiée comme document officiel de l’Assemblée Générale (A/63/871) et du Conseil de Sécurité (S/2009/198).
"La délimitation par la RASD de ses zones maritimes et sa déclaration d’une zone économique exclusive (ZEE), est une affirmation du droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination et à la souveraineté permanente sur leurs ressources naturelles", a indiqué, M. Mohamed Abdelaziz, Secrétaire général du Front POLISARIO et Président de la RASD à SPS, à la suite de l’adoption par le Conseil National Sahraoui (Parlement) d’une loi établissant les zones maritimes de la RASD. Sahara Press Service, 22 janvier 2009.
L’organisation des jeunes « Nordic Committee of Co-operating Social Democratic Youth Organisations » (FNSU), regroupant des organisations de tous les pays nordiques et des pays Baltes demandent que la renégociation de l’accord de pêche EU-Maroc exclu le territoire occupé du Sahara Occidental.
Les entreprises ne comprennent pas l'éthique. Ership y FMC Foret est de celles-là. De retour à la continuité des violations des droits humains au Sahara Occidental, l'entreprise chimique espagnole continue son business, c'est-à-dire, de faire des affaires, peu importent qu’elles soient licites ou non.
Déclaration de Western Sahara Resource Watch, le 24 mars 2009.