Les exportations de minerais de phosphate du Sahara Occidental occupé n'ont jamais été aussi faibles qu'en 2019. Cela est révélé dans le nouveau rapport WSRW P pour Pillage, publié aujourd'hui, 24 février 2020.
Le 5 février 2020, la Commission européenne a annoncé que les produits du Sahara Occidental devraient être étiquetés en conséquence. Mais environ 24 heures plus tard, toutes les traces de cette déclaration ont été supprimées des sites Web de l'UE.
Pour la quatrième année consécutive, Siemens la compagnie d'ingénierie allemande ne répond pas lors de son assemblée générale annuelle de son obtention du consentement du peuple du Sahara Occidental pour opérer sur ses terres.
Le Maroc a lancé un appel d'offres pour la construction de centrales solaires sur neuf sites différents, y compris au Sahara Occidental occupé.
La Commission européenne a déclaré hier que les produits originaires du Sahara Occidental doivent être étiquetés comme provenant du Sahara Occidental, et non du Maroc.
La Namibie et le Timor oriental ont recommandé le 22 janvier à l'Espagne de respecter le droit du peuple sahraoui à un consentement libre, préalable et éclairé en ce qui concerne l'exploitation des ressources naturelles du Sahara Occidental.
Le contrat de la société d'ingénierie allemande Continental qui couvre les travaux de maintenance de la courroie transporteuse de phosphate au Sahara Occidental occupé expire dans cinq mois.
En 2010, la société néerlandaise Fugro a promis de ne plus jamais entreprendre d'opérations au Sahara Occidental occupé. La veille de Noël 2019, leurs navires sont revenus.
Un navire canadien-japonais qui a transporté du phosphate de conflit depuis le Sahara Occidental occupé a hier été accueilli par une flottille de manifestant en Nouvelle-Zélande.
Le mois prochain, le bilan de l’Espagne en matière de droits de l’homme sera examiné par le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève. WSRW demande aux États membres de l'ONU de pointer les droits du peuple du Sahara Occidental, dont l'Espagne continue d'être responsable.
La baie de Mogán, sur l’île de Grande Canarie, sera prochainement recouverte de sable de conflit provenant du Sahara Occidental occupé.
Le 2 décembre au matin, le syndicat néo-zélandais des chemins de fer et du transport maritime a publié un communiqué dans lequel il déclarait qu'il "envisagerait de ne pas amarrer le navire" si l'importateur de phosphate Ravensdown ne permettait pas aux travailleurs des ports d'inscrire leur réclamation auprès du capitaine du navire.
Les travaux de construction sur la plage controversée de Mogán à Grande Canarie ont commencé le 2 décembre.
Pour la deuxième fois en moins de deux mois, le même chimiquier a effectué le voyage direct du Sahara Occidental occupé au port de Rotterdam. Le gouvernement néerlandais fait la lumière sur le contenu du navire.
Ravensdown "risque une action directe potentiellement perturbatrice en refusant d'autoriser les travailleurs du port à enregistrer leur protestation contre l'importation de phosphate sanglant du Sahara Occidental", a déclaré le Syndicat du transport ferroviaire et maritime de la Nouvelle-Zélande.
M. Hans Corell, ancien conseiller juridique auprès du conseil de sécurité des Nations Unies, commente les activités de pêche de l'UE au Sahara Occidental.
Avec la mise en œuvre de l'accord de Paris en tant que point clé de l'ordre du jour de la COP25, la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques va-t-elle enfin préciser si les États peuvent aider à lutter contre les changements climatiques en violant la Convention de Genève et la Charte des Nations Unies ?
Le parc de 300 MW est le premier des deux parcs éoliens que la société italienne Enel Green Power et le groupe allemand Siemens pourraient ensemble sur des terres occupés. La construction est annoncée en 2021.
La Turquie est devenue le principal importateur de farine de poisson du Sahara Occidental occupé. La société d'aquaculture Gümüşdoğa transforme la farine en produits de la pêche de grande valeur pour le marché européen.
Un navire d'étude sismique franco-norvégien est entré par au moins quatre fois dans les eaux sahraouies. La société à l'origine de l'exploration blâme son client néerlandais.