Pour la troisième année consécutive, le Maroc a consacré la majeure partie du soutien sectoriel de l'UE pour la pêche au développement de cette industrie au Sahara Occidental occupé - avec l'approbation explicite de l'Union Européenne.
Alors que la Cour suprême de l'UE a stipulé qu'aucun accord commercial avec le Maroc ne peut être appliqué au Sahara Occidental, la Commission Européenne a visité ce mois-ci le territoire occupé pour mettre à jour la liste des entreprises autorisées à exporter leurs produits vers l'UE.
WSRW a de nouveau demandé à Siemens de clarifier comment l'entreprise a obtenu l'autorisation du peuple du Sahara Occidental pour son implication dans presque tous les projets d'énergie éolienne du Maroc dans le territoire occupé.
Les récentes fuites sur des paradis fiscaux internationaux fournissent plus d'informations sur les dessous des opérations pétrolières de Glencore au Sahara Occidental occupé.
D'autres fermes éoliennes sont prévues au Sahara Occidental occupé, et toutes sont dans le portefeuille de la compagnie du monarque marocain NAREVA.
Le Maroc et Siemens poursuivent leurs projets de production d'énergie dans le cloaque des droits de l'homme qu'est le Sahara Occidental : le premier parc éolien litigieux construit par une compagnie britannique près de Boujdour devrait être opérationnel en décembre 2018.
Au cours des 24 heures précédant le 26 octobre, WSRW a observé une reprise de l'exploration des fonds marins au nord de Dakhla, dans le bloc exploité par la compagnie pétrolière américaine Kosmos Energy en collaboration avec l'écossais Cairn Energy.
... précisément sur le territoire que la plus haute Cour de l'Union européenne considère « séparé et distinct » du Maroc.
La Commission de l'UE estime le flux commercial du Sahara Occidental vers l'Union Européenne à "seulement 7000 €" pour toute l'année de 2016. "Cela défie l'entendement", déclare WSRW.
La Suède est connue pour soutenir l'autodétermination sahraouie, mais ses actes et ses investissements suivent-ils sa parole ? Consultez notre nouveau rapport sur l'implication de la Suède dans le prélèvement des ressources naturelles du Sahara occidental occupées.
Le verdict est rendu après des années de mise en cause des motifs politiques du procès, emprisonnant des militants opposés à la discrimination sociale et économique des Sahraouis par le Maroc.
La compagnie nationale marocaine de phosphate, l’OCP, a décidé d’abandonner sa défense du cargo immobilisé en Afrique du Sud. Le peuple sahraoui a ainsi gagné une victoire de 5 millions de dollars avant que le procès sur la propriété du minerai de phosphate ait même débuté.